Zabuza et Gisuke discutèrent un moment tout en marchant dans les rues de Kumo. Zabuza avançait l'air décontracté mais en réalité il sentait une présence et supectait qu'un ennemis ne se soit infiltré dans le village de sa bien-aimée, il continua à marcher sans rien dire pour ne pas inquièter Gisuke et écouta le garçon se pleindre de sa soeur une fois de pus... Soudain, le Mizukage perçut enfin ou se trouvait la personne qui se camouflait par sa respiration regulière, mais eu un choque lorsqu'il comprit que cette respiration ne pouvait être celle d'un homme mais bel et bien d'une femme ou d'un enfant. Ne pouvant plus attendre, il sauta avec agilité sur le toit ou il avait perçut le souffle de l'inconnu, abandonnant insi Gisuke sasn un mot, mais ne trouva rien d'autre que le vent balayant les tuiles rouge de la maison sur laquelle il se trouvait. Il ne comprit pas, mais cet instant de confusion fut brisé par le bruit furtif d'un ennemis bondissant de sa cachette. Zabuza saisit son épée avec une rapidité proche de celle de l'aigle, mais le corps frèle et agile de son attaquant le surprit avant qu'il ne l'attaque. La confusion s'empara de lui lorsqu'il comprit qu'il était face à une femme, et que celle-ci, camouflée d'une cape noir couvrant ses cheveux comme son corps s'était saisit de la poignée de sa précieuse épée sans que celle-ci ne s'anime de cette volonté qui lui était propre d'habitude. Son assayante s'approcha alors de lui et decouvrit ses cheveux d'or du sombre tissus, le Mizukage fit tomber Kubukiri Houcho à terre en prononçant un nom à peine audible.
-Nii...
Gisuke avait lui aussi grimpé sur le toit et y avait trouvé les deux kage enlacés. Il observat un instant la Raikage.
En quelques mois, elle avait énormement changé, elle s'était spécialisé dans le camouflage et portait une cape noire légèrement déchirée sur les coutures du bas et ressemblait plus à un voleur qu'à un kage , et marchait d'un pas ressemblant à celui des assassins de la brume de Kiri. Zabuza remarqua ces changements et se promit de lui demander la cause de cela après l'avoir enlaçé, elle est sa fille, pendant assez longtemps pour ne plus sentir son coeur se déchirer à la pensée de devoir encore être séparé d'elles.